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Fin(s) de race
Banlieue de Paris, 2014. «Ah ces fins de race, faut s’en débarrasser. D’ailleurs, dans ma commune…», ai-je entendu à un déjeuner de famille. Ces «fins de race», c’étaient encore les Roms. Demain, ce seront les Syriens. Ou les Irakiens. Ou n’importe quel représentant de ces «bons à rien» à la peau mate.